Les logiciels de cybersécurité destinés à protéger les stations de travail, les serveurs et les autres appareils connectés se sont déclinés sous de multiples formes. Ce n’est pas une nouvelle pour quiconque ayant assisté à une conférence importante sur la cybersécurité au cours des dernières années.
Ce n’est pas une surprise pour les professionnels de cette industrie florissante, les sociétés de capital-risque qui ont investi des fonds dans des outils technologiques protégeant le produit final. Malgré la multitude d’outils et de services disponibles, on peut constater de visu que les entreprises recherchant un service de détection n’obtiennent pas le résulté attendu.
Voici l’avenir de la cybersécurité :
Rare son les fournisseurs sérieux
Chaque outil est en concurrence pour obtenir de précieux biens immobiliers informatiques sur les stations de travail et les serveurs. Certains prétendent être des outils en cloud conçus pour une nouvelle ère d’informatique hors ligne, tandis que d’autres proposent des fonctionnalités de nouvelle génération permettant un contrôle de gestion supplémentaire sur la machine d’un utilisateur.
Généralement, les outils de prochaine génération entrent dans la catégorie de détection et de réponse des points finaux. En fin de compte, le but de ces outils est d’aborder la sécurité différemment de l’antivirus traditionnel, en passant de la détection basée sur la signature à la détection comportementale.
Au-delà des outils
Lorsqu’un engouement technologique s’empare de l’entreprise ou de l’espace commercial, les fournisseurs de services ne sont pas loin derrière. C’est là que le MDR joue un rôle. Les clients le demande.
Les entreprises se multiplient chaque mois et prétendent offrir un meilleur service MDR, plus automatisé, apparemment alimenté par l’intelligence artificielle. Malheureusement, pour les entreprises, MDR est, dans la plupart des cas, un exercice de marketing qui regroupe des outils et des services existants, dans le but de répondre à une demande perçue.